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Bio

Travailler dans le domaine de la télévision, du cinéma et du divertissement m'a intéressé pendant la majeure partie de ma vie, mais lorsque j'ai eu 18 ans, j'ai ignoré cette idée. À l'époque, il semblait impossible d'accéder à l'industrie du divertissement. J'ai donc choisi une voie plus sûre et me suis orienté vers des domaines liés à la construction. J'ai passé toute ma vingtaine et une grande partie de ma trentaine à étudier, travailler ou écrire sur l'architecture, la construction et le design. Soudain, alors que j'approchais de la quarantaine, j'ai eu envie de quelque chose de différent. J'ai donc trouvé un emploi à temps partiel dans une librairie, le temps de trouver une solution.

En même temps, j'ai continué à écrire, mais cette fois-ci, au lieu d'écrire sur des bâtiments, j'ai écrit sur des gens ordinaires qui font des choses extraordinaires dans leur communauté. Le fait d'amener les gens à partager leurs histoires avec moi, puis d'écrire quelque chose qui les rendait fiers était rafraîchissant parce que c'était quelque chose de différent. À l'époque, je savais que je voulais travailler dans l'industrie du divertissement, mais je ne savais pas comment ni quoi. C'est alors que j'ai commencé à remarquer des programmes éducatifs rendant l'industrie du divertissement plus accessible (*merci Google et les algorithmes d'Instagram*).

Avant de m'inscrire, j'ai tout de suite commencé à réseauter avec des récents diplômés du programme que je trouvais intéressant. Je voulais une idée de l'état de l'industrie avant de me lancer dedans. Même après mon inscription au programme Executive Production in Creative Industries à McGill, j'ai continué à tisser des liens avec des producteurs, des cinéastes, des planificateurs d'événements, des coordonnateurs d'événements et des consultants en divertissement sportif. J'ai écouté des podcasts sur l'industrie et j'ai utilisé mon rabais d'employé à la librairie pour lire des livres sur les événements, le divertissement, la production audiovisuelle, la fiction historique, les conversations culturelles, la créativité, la nourriture, les sports et les affaires.

Tout en faisant cela, plusieurs d'autres professionnels m'ont aidé à me développer personnellement alors que je me préparais à ce changement de carrière. Ils m'ont poussée, mise au défi et encouragée, ce qui m'a permis de mieux me connaître. En faisant du bénévolat à C2, à Nuits d'Afrique, à Juste pour rire et au Festival international du film black de Montréal, j'ai rencontré beaucoup de gens et j'ai démontré que j'avais envie de grandir. J'ai trouvé un contrat à court terme avec le Groupe CH dans leur équipe expérience client un été à Osheaga, ÎleSoniq et Lasso. Peu de temps après ça, j'ai trouvé un contrat de six mois avec Vues d'Afrique en tant que responsable des bénévoles, transport et de l'accueil. Actuellement, je travaille à temps plein chez Yulism en tant que coordonnateur d'événements sur des projets intéressants qui font de Montréal une meilleure ville.

La sagesse que j'ai reçue et que je continue de recevoir chaque jour est une bénédiction. Aujourd'hui, j'aide d'autres personnes à raconter leurs propres histoires à travers des événements et médias.

Courriel : show (at) philroberts.ca